Le Canada a décidé de ne pas mettre en œuvre la taxe prévue sur les services numériques, visant de grandes entreprises technologiques américaines telles que Meta et Alphabet. Il semble ainsi céder à la forte pression du président américain Donald Trump, qui avait qualifié la taxe d’attaque directe contre les États-Unis.
Les États-Unis qualifient la taxe d’‘attaque flagrante’
La soi-disant Digital Services Tax (DST) devait s’élever à 3 pour cent sur le chiffre d’affaires des services numériques au-delà de 20 millions de dollars. La taxe devait être introduite rétroactivement à partir de 2022. Cela a conduit la semaine dernière à une vive réaction de Trump, qui a écrit sur sa plateforme de réseaux sociaux Truth Social que le Canada « apprendrait dans sept jours quelles taxes il recevrait ». Il a qualifié la taxe de « directe et flagrante attaque contre les États-Unis ».
Vendredi, Trump a suspendu les négociations commerciales avec le Canada. Deux jours plus tard, le ministère canadien des Finances a annoncé renoncer à l’introduction de la taxe pour relancer les discussions.
Le Premier ministre Mark Carney et Trump veulent maintenant parvenir à un accord commercial au plus tard le 21 juillet. Carney avait déjà indiqué qu’il considérait possible un accord avec les États-Unis dans un mois, envisageant notamment des réductions de tarifs douaniers sur l’acier, l’aluminium et les automobiles.
La relation entre Trump et le Canada reste tendue
Le Canada a exporté l’année dernière pour 412 milliards de dollars de marchandises vers les États-Unis et en a importé pour 349 milliards de dollars. Les liens économiques étroits rendent les mesures de rétorsion de Washington particulièrement sensibles. Le monde des affaires canadien avait déjà prévenu des possibles répercussions et insisté pour l’annulation de la taxe.
La relation entre Trump et le Canada est tendue depuis longtemps. Dans le passé, Trump a même suggéré à plusieurs reprises qu’il aimerait annexer le Canada comme 51e état des États-Unis.
La décision de retirer la taxe crée des divisions. Les critiques craignent que le Canada ne cède trop de son espace politique et cède trop à la pression américaine. D’autres soulignent que la stabilité économique est plus importante qu’une mesure fiscale symbolique.

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